Kadosh (Saint)

Saint signifie utiliser la volonté de recevoir qui était auparavant en vue de recevoir. C’est la forme inversée de l’ego, et elle ne profite qu’aux autres ou au Créateur. Lorsqu’elle est en faveur des autres, elle se trouve encore au degré de donner afin de donner, le degré des Lévites. Mais lorsqu’on reçoit afin de donner, c’est au degré des prêtres, l’opposé de sa nature initiale.

Rancune

Rancune signifie que nous ne pouvons pas nous corriger si nous continuons à « tenir les comptes ». C’est une énergie intérieure. Ce sont des corrections très profondes qui nous étonnent lorsqu’elles apparaissent ; nous comprenons soudain à quel point nos calculs pour notre propre bénéfice sont profonds.

Interdiction de la divination

Divination est interdite parce qu’elle contredit le don. Si une personne veut donner, il n’importe pas ce qui arrivera dans le futur. Tout ce dont nous avons besoin, c’est de nous connecter aux autres et de leur donner ce qu’ils désirent. Ce faisant, nous trouverons une vie nouvelle. Si nous faisons un quelconque calcul, il est en faveur de la volonté de recevoir.

Celui qui avance véritablement vers le don est indifférent au futur. Le don pur est tout ce que cette personne désire — « être » dans l’autre. Dans cet état, on n’a aucun lien avec la divination, puisqu’il ne peut y avoir aucune considération. Ainsi, nous devons effectuer les corrections en nous, car en chacun de nous se trouve le désir de connaître l’avenir ou de le deviner.

Bouc émissaire pour Azazel

Bouc émissaire pour Azazel désigne tous les désirs que nous ne pouvons pas encore corriger. Il y a en nous 613 désirs, et certains ne sont pas encore corrigés. En raison d’un manque de lumière qui brille sur nous, nous ne pouvons pas les réparer. Nous séparons ces désirs de nous, c’est pourquoi il y a des animaux que nous abattons et élevons à la Kedousha (sainteté). Ce sont les désirs en nous au niveau animé. Cependant, il existe des désirs pour lesquels nous ne pouvons pas faire cela. C’est pourquoi, pour l’instant, nous les laissons aller afin qu’ils ne restent pas avec nous, comme si nous ne les possédions pas.